vendredi 18 décembre 2009
De nos jours, plusieurs entreprises offrent le service d'achats en ligne. Plusieurs épiceries permettent l'accès à ce service, ainsi que plusieurs commerces spécialisés et même des commerces organisés strictement sur le net. Ce qui est avantageux, c'est que pour la plupart de ses entreprises on offre aussi le système de livraison. Alors il n'y a aucun allée retour.
Il y a d'autres organismes, comme la popotte roulante qui offre aux gens la possibilité d'aller les reconduire à l'épicerie et permet ainsi aux gens à mobilité réduite de sortir de leur domicile.
Il y a aussi encore beaucoup de débats sur l'accessibilité des endroits publics pour les personnes à mobilité réduite. Entre autre, il y a deux ans au Palais des Congrès on dénonçait le fait qu'il n'y a pas d'accès pour les personnes en fauteuil roulant. Certaines toilettes publics, dans des restaurants, sont aussi difficile d'accès pour les gens en chaise roulante.
Malgré leur handicap, certaines personnes restent très active. c'est pourquoi, il existe de plus en plus de matériel de sport pour les gens à mobilité réduite.
Les services en ligne permettent aussi aux responsable d'institution pour gens en perte d'autonomie d'aller chercher le matériel dont ils ont besoins. Il y aussi plusieurs services hospitalier en gérontologie qui utilise le net pour acheter l'équipement nécessaire. Quelques compagnies font affaires avec ces institution pour leur offrir de l'équipement.
jeudi 17 décembre 2009
mercredi 16 décembre 2009
Un cheval pour professeur
Le cheval est, dit-on, la plus noble conquête de l’homme. Cet animal fougueux peut inspirer l’admiration, la peur, le plaisir, mais pour bien des gens, il s’agit surtout d’un professeur bien singulier. C’est à ce titre que le cheval est employé lors d’une séance d’équitation thérapeutique, ou équithérapie. Cette forme de zoothérapie a fait ses preuves au cours des siècles et est maintenant une discipline reconnue, à tel point qu’en Australie, l’équithérapie est associée au mouvement paralympique. Ce type d’équitation se révèle être un succès depuis les tous débuts et il n’a pas fini de venir en aide à des gens vivant avec toutes sortes de problématiques. Avant tout, il est important de bien comprendre en quoi consiste l’équithérapie.
Il ne faut pas confondre équithérapie et équitation. L’équithérapie englobe plusieurs formes et n’est pas le sport à proprement parlé. Il s’agit d’un accompagnement thérapeutique dont le principal outil est le cheval. Pratiquer l’équitation procure un incroyable sentiment d’accomplissement et renforce l’estime de soi. Transposer ces bienfaits chez des gens souffrant d’une déficience physique ou mentale ou d’un trouble psychologique apporte des résultats surprenants.
En ce qui concerne les gens à mobilité réduite, l’équitation thérapeutique procure une sensation de liberté particulière. Le cavalier ne nécessitant plus les aides artificielles pour se déplacer découvre le monde sous un tout autre angle. De plus, monter à cheval stimule plus de 300 muscles du corps humain. De ce fait, ces personnes peuvent prendre conscience d’une liberté de mouvements et de sensations inconnus jusqu'alors.
Dans le cas de personnes souffrant de troubles d’adaptation, affectifs ou même d’autisme, l’équithérapie améliore la concentration et permet de mieux gérer les comportements agressifs ou anxieux. La relation cheval-cavalier responsabilise ce dernier en plus de lui permettre de vivre une relation affective valorisante.
Toutefois, si l’équithérapie peut être bénéfique pour tous, il faut savoir que ce n’est pas tout le monde qui peut l’enseigner. L’équithérapeute est formé en zoothérapie ou est un professionnel qualifié dans un domaine médico-social et qui est spécialisé dans l’utilisation du cheval comme outil de soin. Pour connaître les centres équestres qualifiés en équithérapie, la Fédération québécoise d’équitation thérapeutique est la meilleure référence.
Bref, l’équitation thérapeutique n’a pas fini d’impressionner. Étant de plus en plus connue, cette discipline est l’objet de nombreuses recherches surtout en lien avec l’autisme et a initié plusieurs projets liés au décrochage scolaire. L’équithérapie compte plusieurs victoires. Parmi celles-ci, on retrouve le programme d’équitation thérapeutique issu d’un partenariat entre le CLSC et CHSLD de la MRC de Montmagny et l’Institut de technologie agroalimentaire de la Pocatière qui a été un véritable succès.
mardi 15 décembre 2009
La retraite
http://www.aines.info.gouv.qc.ca/fr/index.asp
http://www.codesi.net/laretraite/passetemps/pt_radioamateur.htm
La simplicité volontaire, c’est pas si simple !
La simplicité volontaire, c’est presque embrasser toutes les causes, sauf celle de consommer pour redresser l’économie!
La crise que nous traversons actuellement est une belle occasion de remettre en question notre société capitaliste.
Si parfois elle est appelée sobriété heureuse ou encore austérité joyeuse, c’est peut-être parce que pour atteindre ce mode de vie épuré, cela demande certains sacrifices.
Effectivement, nous avons été habitués à vivre dans la prospérité matérialiste où tout est si facile et accessible, pourquoi s’en priver ?
Mais les années fastes achèvent, le monde dans lequel nous vivons va changer, ce n’est qu’une question de temps. Nous avons épuisé nos ressources, détruit notre planète et nous avons coupé les ponts avec notre prochain.
Et si demain il n’y avait plus une goutte de pétrole, donc plus d'essence, plus de plastique...Serions-nous prêts? Cette question porte à réfléchir aux vraies valeurs, à remettre à leurs places les priorités, les besoins de base.
À la base, Adam et Êve… Le retour à la terre que prônait la simplicité volontaire dans les années 1960 et 1970 est encore plus actuel et criant aujourd’hui. Maintenant, le message écologique qu’il véhicule est destiné à tout le monde et non plus qu’aux hippies.
Mais qu’est-ce que cela signifie concrètement que d’adopter la simplicité volontaire ?
Cet idéal de vie s’oppose évidemment à l’individualisme, il se veut humain et connecté avec sa communauté. Il valorise la justice, l’équité et le partage égal des ressources.
« Se convertir » à la simplicité volontaire transforme une vie parce que ça rapproche des gens, ça favorise l’entraide, le partage collectif des biens matériels et l’implication de chacun dans un projet mobilisateur commun : assurer une meilleure répartition des biens entre les humains, réduire notre impact environnemental et utiliser judicieusement nos ressources.
Opter pour la simplicité ne se fait pas du jour au lendemain, cela demande une certaine adaptation, car il faut réapprendre… À vivre simplement.
Les groupes d’achats, la cuisine collective, les jardins communautaires, le covoiturage … Voilà quelques gestes concrets qui s’inscrivent dans le mouvement.
Bientôt, la simplicité ne pourra plus être seulement volontaire, ce sera la norme.
En attendant, commençons par soi-même et faisons des gestes concrèts au quotidien.
Pour d'autres solutions, vous pouvez aussi visiter le site du réseau québécois pour la Simplicité Volontaire:http://simplicitevolontaire.info/
Pour vous impliquer d'avantage sur le plan écologique, visiter le site du Réseau Québécois des Groupes Écologistes du Québec au : http://www.rqge.qc.ca/
une deuxième vie dans ses valises
Une deuxième vie dans ses valises
lundi 14 décembre 2009
Dessine-moi un sourire
L’écrivain russe Dostoïevski a écrit "La beauté sauvera le monde et l'art en est un instrument". Est-ce que l’art peut réellement être un outil pour améliorer le monde? Chose certaine, il améliore le petit monde de ceux qui bénéficient de l’art-thérapie.
Cette forme de psychothérapie utilise la création artistique pour permettre au patient d’exprimer son intériorité et ses réflexions. La création artistique mêlée à la discussion avec le thérapeute permet de laisser transparaitre les images intérieures du patient, qui peuvent être le reflet d’expériences du passé, de problèmes présents, de solution ou de rêves inavoués. Le fait d’impliquer la créativité dans ce type de thérapie permet de mettre le corps en mouvement, de solliciter l’imagination, l’intuition, la pensée et les émotions. Les images créées lors de cette thérapie permettent de dévoiler certains aspects du patient qui peuvent faire surgir de nouveaux comportements ou de nouvelles visions qui peuvent amener à des guérisons physiques, émotives et spirituelles.
Cette forme de thérapie peut avoir l’air plutôt moderne, mais l’application de l’art comme thérapie date d’il y a très longtemps. Même à l’époque de la Grèce antique, on considérait que les arts avaient un effet libérateur et thérapeutique. L’art-thérapie a toutefois fait son entrée lorsque le célèbre psychiatre Carl G. Jung, au début du XXe siècle, a intégré cette nouvelle approche dans ses pratiques après avoir explorer les bienfaits de l’expression par le dessin. L’art-thérapie a toutefois intégré officiellement notre société dans les années 1930, principalement en Angleterre et aux États-Unis (pour en savoir davantage sur l’art-thérapie au Québec aujourd’hui).
De nos jours, on ne peut contredire les bienfaits de l’art-thérapie. On sait notamment que la pratique de l’art améliore la qualité de vie des personnes âgées, comme le démontre cette étude : des gens de 60 à 86 ans ont pendant un mois participé à soit des séances de théâtre, des discussions sur des œuvres d’art ou à aucune activité artistique. Les personnes ayant participé à la première activité ont amélioré de façon importante leurs fonctions cognitives et leur bien-être psychologique comparativement aux deux autres groupes. Une autre étude a été faite auprès de femmes ayant appris qu’elles avaient le cancer. Le résultat est surprenant : celles qui ont suivit un programme d’art-thérapie ont vue leurs symptômes de détresse psychologique diminuer et leur qualité de vie s’améliorer.
Même si le but d’une œuvre n’est que d’être une œuvre elle-même, elle peut sans aucun doute être un moyen de s’exprimer, de se faire du bien, de passer un message. Il en va de même pour ceux qui ont accès à ces œuvres d’art, véritables symboles de l’intériorité d’autrui, puisqu’ils peuvent faire réfléchir, améliorer l’environnement quotidien des autres (comme le fait l'art public) et peut-être même changer le monde.
Alors, qu’attendez-vous? Créez !
Le sport, à tout prix!
La consommation Responsable
Le commerce responsable consiste à consommer les produits qui ont le moins d’influence sur le marché mondial. Autant du côté des travailleurs à la source qu’aux consommateurs des grandes villes. Le commerce responsable peut ce catégoriser dans plusieurs sous-aspects. L’aspect le plus important serait les produits équitables.
Ces produits sont très importants car elles assurent que le travailleurs à la ressource est payé convenablement et non surexploité. C’est l’un des premiers gestes concrets qu’un consommateur peut faire pour consommer avec plus de responsabilité. Les autres aspects sont plus axés sur l’origine du produit, c’est-à-dire, les produits bien de chez nous. De plus, il y a aussi le phénomène des produits biologiques. Si l’on consomme responsable, nous nous devons de ne pas encourager les organismes génétiquement modifiés (OGM) qui sont, à long terme, dommageable pour notre santé. Les mots d’ordres pour la consommation responsable sont : bien mangé, équitable et, le plus qu’on peut, encourager les plus petits de chez nous. Le commerce équitable est beaucoup plus qu’un simple salaire aux travailleurs des ressources, c’est littéralement une bonne condition de vie qu’on leur apporte. Ces produits qui sont généralement artisanales, véhiculent une histoire, un vécu et de très grandes valeurs. Ils incarnent des traditions importantes aux yeux des gens qui les font. Selon les statistiques, plus de 3 milliards de personnes vivent à moins de 2$ par jour. Le commerce équitable les aides à éduquer, loger et à assurer des soins médicaux aux membres de leurs familles. Pour ce qui est des produits de chez nous, cela aident les petits commerces du Québec à ne pas sombrer dans l’ombre des multinationales. Il est beaucoup plus responsable de payer pour plus cher pour une main qui travail que de payer un peu moins cher pour une machine qui fonctionne à l’huile. Aussi, dans la majorité des cas, le marché fait à la main ici au Québec est de meilleure qualité que les marchés importés. La préservation de notre économie et de nos de notre culture devrait-être une priorité pour nous. Beaucoup de gens n’accorde pas beaucoup d’importance à cette facette de l’économie et pourtant c’est l’une des plus prometteuse.
Quoi qu’il en soit, la consommation consiste à faire des petits gestes concrets qui mènent loin. Chaque petit geste compte énormément dans l’énorme roue du commerce responsable. Pensez-y lorsque vous achetez quelque chose : « pourrai-je l’avoir en produit québécois? Ou équitable? ». Jour pas jour, semaine par semaine, nous allons faire de ce monde un monde meilleur dans la consommation responsable.
Équiterre Organisme
Fonds d'action québécois pour le développement durable
Le 4-5-0 reprend vie!
Pour plusieurs personnes, vivre à Montréal ne posent aucun problème. Ils voient en cette ville de nombreux avantages comme la proximité des institutions ou encore la perspective d'emploi élevée. Pour plusieurs autres, ces éléments posent problèmes, car d'une certaine manière, la ville ne dort jamais. Le rythme de vie est effréné et les gens ne prennent plus le temps de vivre en quelque sorte. L'option de l'exode vers les milieux ruraux devient alors une option très évidente. Certes, le choix n'est pas toujours facile, mais le résultat en vaut la peine.
Hyperliens:
http://www.mrcmontcalm.com/
http://www.solidarite-rurale.qc.ca/
Aider pour profiter de la célébrité ou profiter de la célébrité pour aider?
On dit souvent que la vraie générosité de quelqu’un se fait voir par la gratuité de son geste. Toutefois, faut-il absolument que cette personne soit démunie de moyens? Toute personne connue et qui donne généreusement le fait-elle pour les bonnes raisons ou le fait-elle tout simplement pour la bonne publicité que cela engendre? Nous avons bien raison de douter parfois de la gratuité de leur geste et de songer aux raisons profondes de toutes leurs actions, mais il reste qu’au bout du compte, ils font le bien alentours d’eux et qu’ils nous aident à faire de ce monde, un monde bien meilleur.
Certains ont fait des dons importants qui ont permis d’accomplir de grandes choses telles que la construction d’un sanctuaire au Cambodge. D’autres ont fait la donation d’objets, tels que 10 000 paires de souliers, à une ville défavorisée de la Colombie. Qu’est-ce qui les poussent à agir ainsi? Angelina Jolie nous répond en nous renvoyant une question : Qui sommes-nous si nous ne sommes pas utile pour les autres? Pour beaucoup d’entre eux, aider les autres est à associer à un sentiment de devoir envers la société. Ils gagnent bien plus que la grande majorité du reste de la population et ceci fait en sorte qu’ils ont l’impression de devoir redonner plus au reste du monde, mais surtout à ceux qui n’ont aucun moyen. Est-ce qu’un sentiment de devoir est une bonne raison pour redonner au plus démunis, est-ce que cela est assez généreux pour rentrer dans l’équation de la générosité pure et vraie? Sûrement pas. Heureusement, nombreux sont les célébrités qui ont des raisons bien plus près du cœur pour donner si généreusement. Ils ont beaucoup à nous apprendre. Pour beaucoup, donner au suivant est quelque chose qui leur apporte beaucoup plus qu’ils ont l’impression de redonner. Voilà tout simplement pourquoi certains de leurs dons sont si grandioses.
Faire le bien en aidant les autres n’est souvent pas une astuce pour profiter de plus de célébrité. C’est souvent bien plus une question de profiter de leur célébrité pour faire quelque chose qui leurs tiennent à cœur et que certains n’ont pas les moyens de faire, aider des causes qui en ont grandement de besoin.
Le froid ne vous aura pas !
Premièrement, il est impératif d’établir des priorités, il faut déterminer qu’elles parties de votre corps sont les plus frileuses. Avant de faire l’achat de vêtements chauds, vous devez vous assurer que vos sous-vêtements d’hiver sont appropriés. Les bas sont souvent négligés, mais ils sont déterminants. Il est important d’éviter les simples bas en coton, car ils retiennent l’humidité. Il est préférable de porter des bas de laines ou de fibres synthétiques, car ils gardent vos pieds au sec et ils sont plus chauds. Pour le reste du corps, les combines sont l’idéal, car elles sont près du corps, donc elles gardent la chaleur et elles stabilisent la transpiration. Pour ce qui est des mains, vous pouvez mettre deux épaisseurs de mitaines pour pouvoir gérer la température selon celle de vos mains. C’est par la tête que l’on perd le plus de chaleur alors il est important de la couvrir avec une tuque qui recouvre bien les oreilles et le front. Lorsque vous pratiquez un sport, vous devez vous assurer de porter plusieurs couches de linge afin d’équilibrer votre température, car si vous transpiré et que vous ne pouvez pas enlever une couche, l’humidité s’installera et vous aurez froid. Maintenant que vous avez compris la base, voyons comment choisir le bon ensemble d’hiver. Tout d’abord, le tissu est très important lorsque l’on parle de vêtements d’hiver. Le polyester, le «polar», le goretex et le spandex-lycra sont tous des tissus qui laissent l’humidité sortir, mais qui gardent la chaleur. Il est favorable que les manteaux et les pantalons puissent protéger du vent et qu’ils soient imperméables. Il faut aussi s’assurer que les vêtements ne réduisent pas les mouvements et qu’ils soient bien adaptés à votre taille pour ne pas ralentir la circulation sanguine. Si vous voulez avoir une meilleure étanchéité, il est possible de trouver des manteaux avec des coutures soudées et des fermetures éclaires qui ne laissent pas passer l’eau. Il est possible de trouver de très bons articles d’hivers à prix raisonnables, suffit de chercher. Bref, vous avez ici tous les outils pour combattre le froid tout en restant au chaud. Adaptez-vous à l’hiver pour pouvoir en profiter pleinement. Plus question de rester enfermé cet hiver, on sort dehors et on bouge!
Hyperliens:
http://www.skimco.ca/trucs/equipement05_vetements.php
http://www.lepoint.fr/tendances/2007-01-25/test-les-sous-vetements-techniques-au-banc-d-essai/998/0/107449
L'art peut vous apporter beaucoup
Certain jouent de la musique, certains font du sport, certains lisent et certains font de l’art. Comment l’art peut vous aider à évacuer les problèmes de la vie quotidienne? C’est pourtant la solution employée par plusieurs jeunes amateurs d’art. Pratiquer l’art du dessin ou de la peinture est très libérateur. C’est une excellente technique pour apposer toutes ces émotions, autant positives que négatives, sur une toile. Le fait de peinturer ou de dessiner ce qu’ils vivent les aide à les surmonter. C’est mettre une image concrète sur des problèmes ou évènements qui ne le sont pas toujours. Par le fait même, avoir l’image de la situation devant soi sur une toile permet une meilleure compréhension de ce qui en retourne. Une partie de la vie de l’artiste y est dévoilée, alors forcément que l’amateur se libère de ses tracas en les dessinant. Au lieu de garder le tout en dedans, ils en font une œuvre d’art. Comme tout le monde le sait très bien, garder le tout en sois peut nuire et finir par éclater à un moment donné sans prévenir. Il faut donc éviter d’accumuler ces petits moments de tristesses et les véhiculer au fur et à mesure qu’ils se présentent à nous. Nier le problème ne fera qu’empirer la chose. C’est pour ça que leurs œuvres sont parsemés de leurs états d’âmes. L’artiste se voit également gratifié de voir le résultat réussi de ses œuvres. L’estime de lui-même augmente et lui donne du courage pour continuer à avancer dans les chemins les plus difficiles. L’art leur apporte une vie meilleure et remplie de bonheur. Que ce soit positif ou négatif, tous ce qu’ils ressentent n’est pas gardé enfoui. Ils partagent leurs sentiments avec ceux qui regardent leurs toiles et obtiennent un grand respect de tous ceux qui les regardent. Cela demande beaucoup de courage de se dévoiler à nu devant les gens, mais ils le font à leur manière au travers de l’art.
Voilà comment l’art contribue à maintenir une vie de bonheur et à gérer les tracas qui nous affectent tous les jours L’art fait partie intégralement d’eux et les aide à surmonter les épreuves pour ainsi en sortir toujours plus fort.
L’art est leur fierté et leur espoir.
j'ai également rencontré Valérie Bruneau lors d'un entrevue sur comment l'art lui permet elle de mener une vie meilleur.
Hyperliens:
http://www.radio-canada.ca/actualite/enjeux/reportages/2002/1029/art.shtml
http://sab.pianiste.free.fr/l%20art%20nous%20aide%20t%20il%20a%20vivre.htm
Allo la planète? Ici le RAG.
En effet, comme Andrée Sophia, la porte-parole que j’ai interviewée, a dit, le RAG tient une campagne contre le foie gras. Pour réussir à avoir un impact assez gros à leur goût, ils ont simplement infiltré un membre dans une usine de foie gras et en filmant des scènes horribles pour ensuite les rendent publiques. Un beau résultat qui a valu deux congédiements et un bel impact au niveau des gens qui auront regardés les vidéos disponibles. Il y a un lien direct au bas complètement, mais âmes sensibles, soyez prévenus que la cruauté est très bien exposée. Une autre réussite de l’organisme aura été de stopper deux municipalités d’organiser des cirques qui utilisaient des animaux, car souvenons-nous que le RAG nous aide à réaliser que ces animaux sont pratiquement toujours encagés et traités en robots. C’est simplement la preuve que quand on veut, on peut! Il y a plein d’exemples à nommer et à admirer et ce, sur le site du Réseau d’Action Globale. (http://www.gan.ca/)
Finalement, tout porte à croire que ces activistes se basent énormément sur leurs réussites et sur le fait qu’ils doivent absolument changer le monde. Ceci est, chers lecteurs, un erreur qui est plus que fréquente. Parler avec quelqu’un qui fait parti de ce monde et de l’équipe du RAG vient changer un tas de visions et en particulier celle-là. Ces personnes agissent aussi parce qu’elles aiment ce qu’elles font, peu importe les victoires ou les défaites. La plupart suivent rigoureusement ce mode de vie qu’est le végétalisme ou le végétarisme, pas seulement parce que c’est plus logique de l’être quand tu fais parti d’un organisme qui défend les animaux, mais aussi parce que c’est comme ça qu’ils souhaitent être. L’organisme n’est pas un dossier à part de leur vie quotidienne : les activistes ont les deux pieds dedans, ou pas du tout. Andrée Sophia, elle, a les yeux pétillants lorsqu’elle parle qu’elle est végétalienne et elle aime parler pour le RAG puisque c’est une partie importante de sa vie. Les victoires sont donc secondaires et l’important c’est de toujours avoir l’espoir au cœur, la volonté et la flamme dans le regard qui expriment la détermination de pouvoir faire sa part pour cette terre sur laquelle nous vivons. Après tout, le RAG dit que le bien-être des animaux et de l'environnement son des éléments indispensables à celui des êtres humains. Qui peut contredire?
L'entrevue complète avec Andrée Sophia, porte-parole du RAG!
Ps.: Désolée pour le bruit ambiant, l'entrevue était effectuée dans un café..
Hyperliens:
Site du Réseau d'Action Globale
href=http://www.gan.ca
Investigation à l'usine Pédigord.
href=http://www.youtube.com/watch?v=1Ozws-u4xb0
Vite, vite, vite et toujours plus vite!
L’hyperactivité
Certes les enfants hyperactifs sont très demandant. Ils ont besoin d’énormément d’attention et nécessitent une horaire leur laissant du temps libre pour se dégourdir les pattes. Ces enfants ne peuvent rester assis bien longtemps. Leur concentration est moindre, car ils sont facilement distraits. Il faut donc les laisser respirer entre les périodes de concentration, soit leur faire prendre une petite marche, les faire sauter sur place ou simplement les laisser prendre l’air afin de dépenser leur trop plein d’énergie. De plus, il est important de constater que de nos jours, les enfants sont plus souvent à l’intérieur en train de jouer sur l’ordinateur ou de visionner un film plutôt que de pratiquer un sport ou de jouer à l’extérieur. Cela n’aide pas à l’hyperactivité, car en restant penauds sur leur sofa, les enfants ne dépensent pas leur énergie et quand vient le temps de faire dodo, ils sautent partout et n’en peuvent plus d’être tranquilles.
Actif ne veut pas dire hyperactif
Les cas d’hyperactivité augmentent sans cesse. C’est à se demander si les médecins font des diagnostics sans vraiment connaître l’enfant. Un enfant peut être très énergique sans être hyperactif. Il est donc important d’en faire la différence avant de vouloir traiter un enfant avec une prescription de médicaments qu’il n’a pas réellement besoin. Les symptômes majeurs sont les suivants : manque d’attention soutenu, impulsivité, difficulté à se concentrer, instabilité émotionnelle, difficulté à obéir et à respecter l’autorité, ainsi que certains troubles neurologiques comme posséder une mémoire à court terme et non à long terme, ainsi que faire des mouvements qui sont inutiles ou qui ne sont pas en coordination avec ce qu’il doit faire. Si votre enfant ne possède pas tous les symptômes, peut-être a-t-il simplement besoin de bouger plus.
Prendre le temps
Il important pour les parents de prendre le temps de faire des activités avec leurs enfants. Bouger, rire et bien manger sont des actions qui permettent d’être en santé et de passer du bon temps en famille. Dans cette société où tout doit être rapide et efficace, ôtez-vous la pression de toujours vouloir en faire plus. La performance et la compétition ne rendent pas toujours la vie facile. Il faut donc prendre en considération ce qui vous rend personnellement heureux et ainsi, mettre vos priorités à la bonne place. L’être humain n’est pas parfait alors prenez le temps, relaxez!
Slow Food ou la philosophie de l'escargot
Slow Food est une philosophie de vie qui s’oppose au fast food. Elle encourage les gens à vivre plus lentement, à prendre le temps, non seulement de bien manger, mais aussi de bien goûter les aliments. Slow Food se lance à la défense du goût, s’oppose à l’uniformisation du goût des aliments, causée par la mondialisation et vante les mérites d’une alimentation « vraie », c’est-à-dire dépourvue de colorants, de saveurs artificielles et bien entendu, d’OGM. Le mouvement souhaite aussi sensibiliser les gens à savoir d’où viennent leurs aliments et comment ils ont été produits. Certains croient à tort que Slow Food est synonyme de bio. Pas nécessairement. Slow Food invite les gens à manger « local » autant que possible. Cela consiste à manger des aliments produits le plus près possible de nous et à encourager principalement les petits producteurs artisanaux, qui souvent, souffrent de la concurrence des grandes chaînes.
Depuis maintenant plus de vingt ans, le mouvement est devenu un phénonème international. À travers le monde, plusieurs convivia (pour convivialité) ont été formés. Aujourd’hui, 100 000 membres sont réunis dans 1000 convivia. Ces « cellules » deviennent donc les représentants de leur région. Le convivium du Québec a été fondé à Montréal par Paul Caccia, en février 2001. Le mouvement a continué de s’implanter au Québec, et compte maintenant plusieurs convivia, dont ceux de l’Abitibi-Témiscamingue, de Charlevoix et de la Côte-de-Beaupré. Le nom a donc été changé pour Slow Food Montréal.
À Montréal, des soupers et des rencontres sont organisés durant l’année afin de faire découvrir à ses membres les artisans du Québec. Les participants ont donc la chance de découvrir des producteurs de fromages, de charcuterie artisanale, de volaille, de porc, de légumes, etc. Faire découvrir les producteurs d’ici et d’ailleurs, expliquer l’origine des aliments et leur contexte sociohistorique ne sont quelques-uns des objectifs que s’est lancé Slow Food Québec.
Si le but premier est de faire découvrir les aliments locaux autant que possible, certains ateliers sont consacrés à la cuisine d’ailleurs.
Donc, le mouvement Slow Food continue de s’étendre à travers le monde. Si enrayer les fast food est certainement impossible, il est encourageant de voir que de plus en plus de gens s’intéressent au mouvement et les convivia continuent de se multiplier, tout comme les objectifs et la mission de Slow Food évoluent.
J'ai rencontré Bobby Grégoire, jeune membre de Slow Food qui a faire l'expérience d'être locavore pendant un peu plus de mois. Il explique en quoi est-ce que cela consiste.
J'ai aussi rencontré Françoise Kayler qui m'a expliqué la philosophie Slow Food un peu plus en profondeur. Elle parle des coûts du fast-food qui est peut-être plus dispendieux que l'on pense, des livres de cuisine qui n'incitent pas tant que ça à cuisiner et des jeunes qui devraient s'impliquer plus si on veut que le mouvement survive. Qu'attendons-nous?
FLATTE-MOI DANS LE SENS DU POIL
Eh oui, il est possible d’être à la page sans avoir mauvaise conscience! Pour cela, il faut mettre de côté l’idée d’une imitation de fourrure naturelle, la fausse fourrure appelée à tord «fourrure synthétique» obtenues à partir de pétrole, bien qu’elle soit moins onéreuse. En effet, la confection d’un seul manteau en fausse fourrure nécessite jusqu’à 19 litres de pétrole, une ressource non-renouvelable. Aussi, étant composée de fibres synthétiques, la production d’une seule pelisse imitée requiert des réactions chimiques à hautes températures, ce qui produit de l’oxyde d’azote et autres substances potentiellement nuisibles pour l’environnement. Ainsi, un manteau porté tout au plus trois années et qui restera dans la garde-robe quelques autres, vivra bien plus longtemps que vous! Comme la plupart de ces matériaux ne sont pas facilement décomposables, celui-ci subsistera dans un site d’enfouissement des siècles durant.
Ne vous découragez pas, il existe bien une façon de vêtir un pelage dense et élégant en toute compassion pour nos amis les mammifères. Vous l’aurez deviné, la fourrure a toujours été synonyme de mode très recherchée et durable. La fourrure véritable est une substance organique. Elle est complètement et naturellement biodégradable. Dès qu’on le traite aux petits soins, un vêtement de fourrure peut se porter de nombreuses années, bien plus longtemps que la plupart des matières textile d’ailleurs. En fait, les manteaux de fourrures sont parmi les rares vêtements qui se transmettent d’une génération à l’autre, et à une autre encore! C’est donc l’occasion de recycler! De ce fait, une vieille pelure dénichée dans la penderie de mère-grand se transforme en un superbe manteau méconnaissable et éthique. Oui, oui, il suffit de le confier à des doigts de fée pour le remodeler et lui donner un nouveau look au gré des tendances mode, ou encore pour confectionner des sacs à main, des coussins, des jetées, des couvertures ou encore autres accessoires maison.
Voilà donc plusieurs façons et bonnes raisons de redonner de la valeur à une toison, sans que la culpabilité nous tenaille!
Hyperliens:
Musique=Guérison?
La musique
La musique est une forme d’art qui existe depuis plus de 10 000 ans et qui a évoluée à travers les époques. Chaque pays et civilisation possèdent et créent sa propre musique en s’inspirant de tout ce qui les entourent et ce qu’ils ressentent. Par exemple, en Amérique, on a vu apparaître plusieurs styles différents tels que le Jazz, le Blues, le Reggae, le Rap, le Rock, le Pop, etc. C’est pourquoi, avec les années, la musique est devenue un langage universel, donc compris et écouté à travers le monde entier. Alors qu’avant, elle n’était qu’un passe temps ou divertissement, aujourd’hui elle a tout à fait sa place dans le domaine médical.
La musicothérapie
La musicothérapie fait partie de l’art-thérapie et selon l’Association québécoise de musicothérapie (AQM, 2003), « la musicothérapie est un mode d’intervention qui utilise les composantes de la musique (rythme, mélodie, harmonie, style, etc.) afin d’améliorer ou de maintenir le bien-être physique et psychique de l’individu». Cette pratique existe et est reconnue seulement depuis les années 60. Elle se pratique dans des centres hospitaliers, dans les écoles, dans les centres de réadaptation, les centres de santé communautaire et la pratique privée se fait aussi. Son but premier est de venir en aide aux personnes atteintes de maladies mentales telles que la schizophrénie, le syndrome bipolaire, dépression sévère et même ceux qui sont atteints d’autisme. La musicothérapie vient en aide aux personnes atteintes de maladies physiques aussi, comme le cancer, paralysie, la cécité et la surdité. En pratiquant la musique, ces personnes on l’occasion d’augmenter leur estime de soi, de stimuler les sens qui sont sollicités, elle améliore leur sens créatif et va jusqu’à améliorer leur qualité de vie. Il est non seulement question de pratiquer un instrument, mais de chanter, composer des chansons et laisser aller son esprit créatif. Bref, cette pratique permet de voir différentes facettes de la vie quotidienne, sociale et psychique et permet, aussi, d’offrir un accès au développement de soi.
Ensemble, c'est mieux
Tout en aidant les personnes à faible revenu, la Maison d'entraide Saint-Paul-Émard oeuvre pour le bien-être de toute sa collectivité en offrant différents services alimentaires tels des produits à rabais, des groupes d'achats, une cuisine collective et des ateliers formateurs. Ce genre d'initiative permet aux gens de se prendre en main sur le plan alimentaire et de renouer avec les bienfaits de la communauté.
Lorsque la récession vient troubler votre bien-être
La récession américaine frappe durement à la porte des québécois
C’est en 2008-2009 que l’ancien président des États-Unis, George W. Bush, a déclaré que la récession s’installait dans le pays, même si elle était déjà engendrée depuis 2007. Depuis, le malheur des américains est donc devenu le malheur des autres pays avoisinants. Plusieurs entreprises se voient forcer à fermer leurs portes et d’autres vont favoriser l’embauche de travailleurs à temps partiel pour diminuer le coût salarial. Ainsi, l’embauche d’emplois à temps partiel augmentera, mais des millions d’employés qui travaillent soit à temps plein ou à temps partiel, qui sont payés plus cher, seront mis à pied. Pour notre part, au niveau national, l’analyse de l’économiste en chef Andrew Jackson démontre que les provinces les plus touchées sont le Québec, l’Ontario et les Maritimes. Notamment, au Québec 22 000 postes à temps plein se font éliminer et donc le taux de chômage augmente de 7% à 7,3%, et ce, seulement en un mois.
Perte d'emploi = Stress
Par ailleurs, la perte de son emplois peut engendrer plusieurs problèmes, tel que le stress, qui peut mener à la dépression, l’endettement, les problèmes familiaux et ceci jusqu’au suicide. Après avoir perdu son emploi, les gens sont préoccupés par l’obtention d’un nouvel emploi ou par les factures qu’ils ont à payer, donc ils n’ont pas le temps de prendre soin d’eux. Toutefois, avant même d’obtenir un nouvel emploi, il est important de prendre du temps pour soi pour se reprendre en mains, car, d’abord et avant tout, la clé au succès c’est la confiance en soi.
L'économie et le bien-être
Souvent, les gens pensent que nous devons payer des grosses sommes pour rester en pleine forme ou pour simplement prendre soin de soi. Par contre, il existe plusieurs moyens pour s’occuper de son bien-être, et ce, avec des prix abordables et même gratuits. Certains croient que les spas, l’abonnement au gym, les rendez-vous chez la coiffeuse et chez l’esthéticienne sont au-delà de leur moyens et d’une part, ils ont raison. Toutefois, nous pouvons magasiner pour des forfaits abordables et nous pouvons nous limiter à certains forfaits, comme par exemple, pour le spa, se limiter au forfait pour l’accès des bains à la place des massages puisque c’est plus cher. Bref, l’activité physique, la relaxation, les massages, notre coiffure et le maquillage peuvent tous être faits par nous-mêmes à la maison, par nos amis et même par notre être aimé, il suffît simplement de prendre le temps pour le faire.
Hyperliens:
http://www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=5509
http://www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=4395
http://www.sportadomicile.com/
dimanche 13 décembre 2009
Le bénévolat, ça rapporte!
Plusieurs organismes existent afin d’aider les plus démunis. Durant le temps des fêtes, les organismes à but non lucratifs explosent de publicités afin de conscientiser le plus de gens possible à donner généreusement aux familles dans la nécessité. Nonobstant le fait que le même nombre d’organismes, si ce n’est pas plus, travaille tout au long de l’année pour soutenir les personnes et les familles dans le besoin. Une famille démunie l’est 365 jours par année et non seulement durant le temps des fêtes. Ces organismes ont besoin sans cesse de bénévoles prêts à offrir de leur temps pour les aider.
Plusieurs personnes passent une journée de leur semaine en plus de leur travail habituel, à faire du bénévolat. Les personnes à la retraite s’occupent souvent au bénévolat puisqu’elles ont beaucoup de temps libre. Mais le plus intéressant, c’est le nombre grandissant de jeunes qui donne généreusement de leur temps, en plus de leur étude, aux organismes qui en ont besoin.
Être prêt à donner de son temps à quelqu’un, ça doit d’abord et avant tout venir du cœur. Les gens qui vont dans ce genre d’organismes ont, pour la plupart, honte d’être dans cette situation. Ils n’ont pas souhaité être là et utilisent les centres qu’en dernier recours. Ils ont, pour plusieurs, des problèmes de santé et même psychologiques. Ils ont donc besoin de chaleur humaine, d’écoute et d’entraide. Pour pouvoir leur donner ce qu’ils attendent, il faut que l’acte soit volontaire. Le bénévolat ne veut pas nécessairement dire se déplacer à un organisme ou dans un centre. La simple action d’aller porter les vieux vêtements à la Saint-Vincent-de-Paul au lieu de les jeter, ouvrir la porte à une personne, passer du temps avec des personnes âgées à discuter avec eux, payer quelque chose à manger à un itinérant dans la rue, aider une vieille dame à traverser la rue, aller déneiger chez le voisin, etc., se sont tous des actions volontaires dans le but d’aider et divertir quelqu’un qui en a besoin. Le bénévolat, ça se fait sur le coin de la rue!
Montréal est toujours en besoin de bénévolat, alors si vous voulez vous impliquer, visitez le http://cabm.net/fr/node/34?gclid=COjNiq_U2Z4CFQk75QodqncHIQ . Pour de plus amples renseignements, visitez le http://www.benevolat.gouv.qc.ca/
Une culture qui dure.
Origine
Les années 80 sont cruciales dans l’histoire du straight edge. Le chanteur du groupe Minor Threat, Ian MacKaye, a écrit la chanson « Straight Edge » pour exprimer sa vision de la vie sobre qu’il menait, sans pour autant avoir l’idée de créer un mouvement qui durera près de trente ans déjà. Plusieurs groupes comme Teen Idles, 7seconds et Uniform Choice ont présenté la même idéologie, avant l’apparition du mouvement. Comme toute culture, le straight edge a ses courants : le Youth Crew, le Revival et la nouvelle ère. Ces courants se démarquent tous par leur sonorité et les nuances dans le message straight edge de ces groupes.
Youth Crew
Le Youth Crew débute au milieu des années 80, c’est ce courant qui a permis de faire connaître le mouvement straight edge à échelle nationale. Ce courant a vu naître les groupes les plus influençables du hardcore straight edge comme Youth Of Today, Gorilla Biscuits, Judge et Chain Of Strength. La chanson « me, you, youth crew » de Youth Of Today, qui parle de la solidarité des jeunes du temps, a donné le terme au courant. Le youth crew est une musique rapide, crue et directe, dont le message est livré efficacement.
Revival
Le straight edge Revival est la volonté de faire renaître le youth crew dans les années 90. Le “militant” straight edge apparaît, qui se voit être plus engagé politiquement : il défend les droits des animaux, s’oppose à ceux qui ne sont pas straight edge et parle de justice sociale. Le végétalisme est prôné par des groupes comme Earth Crisis, Mouthpiece et Strife.
La nouvelle ère
Au début des années 2000, les mauvais côtés du militant straight edge sont disparus pour laisser place à l’essentiel. La sonorité est toutefois très différente du début du mouvement. On retrouve beaucoup plus de mélodie, des accents de musique métal et des paroles beaucoup plus philosophiques. Ce courant est marqué par des groupes tels que Have Heart, Champion et Betrayed qui influence les jeunes de notre génération.
Bien que méconnue, cette culture existe depuis longtemps et compte plusieurs adeptes toujours fidèles autant à ses origines qu’au courant actuel, portant toujours fièrement leur symbole, le X sur les mains.
Les paroles de la chanson Straight Edge de Minor Threat
Une compagnie de disque straight edge
On pourrait en discuter autour d'un café ?
Bien plus encore, ce chaud réconfort qui existe depuis des siècles et apprécié depuis sa première découverte, n’a cessé à aucun moment de faire profiter de ses vertus à tout audacieux explorateur. Le café est également la source de rencontres fructueuses entre classes sociales différentes il y a quelques siècles déjà, ainsi que partie intégrante de notre culture, puisqu’elle est d’abord l’une des boissons les plus consommés au monde, mais surtout que chaque foyer québécois ou presque, en tient sous son toit. Ces bienfaits ont immédiatement fascinés ses premiers découvreurs, et il suscita la curiosité de tous dès son arrivé en occident. Aujourd’hui, des siècles plus tard, les commerces de café sont toujours très populaires et se multiplient chaque année. Café-internet, café-rencontre, bistro-café, maison de torréfaction, brûlerie, appelez-les comme vous voudrez, ils sont par centaines et sont fréquentés autant les uns que les autres. Qu’ils attirent les étudiants par leur ambiance relaxante favorisant leurs études, ou bien les artistes pour discuter longuement de théâtre et de littérature dans une atmosphère jazz, ou encore les futurs couples à leurs premiers rendez-vous, ils sont un endroit idéal pour tous et chacun.
Il y a très longtemps, les Cafés ont permis une grande évolution au niveau des connaissances et des prises de consciences grâce à des échanges entre les classes sociales ayant accès à plus d’éducation et de culture et celles n’en ayant moins. En effet, ces petits endroits chaleureux portant le nom de la boisson tant convoitée, furent responsables des éléments déclencheurs ayant résulté de développements sociétaux au niveau de la culture, de l’économie et de la politique. En plus d’être la source d’échanges historiques, cette boisson aux multiples bienfaits pour la santé, nous accompagne à travers les siècles et devient l’une des boissons les plus rependues. Elle attire tous les types de publique, les jeunes qui n’ont pas l’âge d’aller prendre une bière et les étudiants studieux, les nouvelles rencontres amoureuses aux premières sorties officielles de deux internautes…
Pour des retrouvailles, pour discuter affaires ou simplement déguster une fin de soirée entre amis, le café est fidèle à nous et ce, à toutes occasions depuis des générations.
Les vertus du café
vendredi 4 décembre 2009
Consommez et pensez pour eux!
Dans la société dans laquelle nous vivons, la consommation est l'une des caractéristiques la plus en vogue. Si cette consommation est mal gérée, imaginez l'impact qu'elle aurait sur les occidentaux. Il y a des moyens clairs et précis de gérer cette consommation et peu d'entre nous en sont informés. Quelques petits organismes aux valeurs égalitaires prennent cette situation à cœur et c'est pourquoi il est important de porter une attention particulière à celles-ci. Pour une vie meilleure et un environnement sain, optez pour la consommation responsable.
À vos marque, prêt, bougez!
La vie est épuisante et toute personne vivant un stress relié à l'école ou au travail a définitivement de besoin d'un quelconque moyen de relaxation. Que se soit par le yoga, le soccer, le football ou la danse, le sport permet de s'évader de la vie quotidienne et monotone pour trouver une terrain neutre dans lequel, il est facile d'oublier tout les soucis de notre vie pour faire place à l'amusement et au dépassement de soi. C'est par des moyens bienfaiteurs sur l'organisme et sur le bien-être du corps que le sport joue en réalité. Toute personne, tout dépendant de ses intérêts peut trouver un sport qui lui convient parfaitement.Donc,
'' À vos marque, prêt, bougez!''
Marie-Eve =)!
Le bénévolat, ça paie plus que vous le pensez.
La simplicité volontaire, faire plus avec moins
La simplicité volontaire, c’est bien plus que de récupérer ou d’offrir des biscuits maison à Noël.
Certes, ces gestes s’inscrivent dans le mouvement, mais ils ne se suffisent pas à eux seuls.
En fait,puisque la simplicité volontaire est une philosophie centrée sur le partage, la collectivité et la sauvegarde de nos ressources, cette idéale de vie influence nos actions de façon globale.
Choisir la simplicité comme mode de vie n’est pas toujours le chemin le plus facile, mais cette route mène ses adeptes à une vie meilleure…
FLATTE-MOI DANS LE SENS DU POIL!
La fourrure recyclée : des créations éthiques, à voir prochainement sur le blog.
Les achats sur deux roues
Chassons les tracas avec l'Art.
L'économie, j'adore!
Vous avez toujours désiré vivre la vie parfaite, sans problèmes, mais la récession vient chambouler vos plans? Ainsi, la récession vient vous priver d'un item de plus dans votre panier. Pour reprendre le tout en main et prendre le contrôle de votre vie, pourquoi ne pas commencer à penser plus à soi ainsi qu'à votre bien-être matériel.
Une deuxième vie dans ses valises
Des notes de musique plein le bulletin!
Le 4-5-0 reprend vie.
Au Québec depuis quelques années, un phénomène tout nouveau se fait sentir. Contrairement aux années 60-70, les gens ne quittent pas les campagnes pour s'installer en ville, mais bien le contraire. Incapables de supporter le stress, le rythme de vie effrené ou encore la pollution, les gens des grandes villes se dirigent plutôt vers les milieux ruraux. Prochainement, sur Option Bonheur, l'exode urbain.
Un cheval pour professeur
"Savoir monter, c'est bien. Savoir tomber, c'est mieux." Et savoir se relever, c'est ce qui permet à des jeunes en difficulté d'affronter les obstacles qui se présentent à eux. Contrer le décrochage scolaire par l'équithérapie, c'est choisir un moyen qui responsabilise les jeunes sans les brimer dans leurs émotions.